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Avec mon escort boy je me sens bien, en confiance et sûre de moi. Tout ce que je lui fais lui plaît… les
surprises, les nouvelles expériences et les fantasmes les plus farfelus. Je peux me laisser aller à n’importe quelle fantaisie, n’importe quel caprice. Je sais maintenant, après quelques
rencontres passées avec lui, attendre le bon moment pour le rencontrer.
J’attends les soirs où je me sens forte et arrogante ou bien ceux où je désire me faire gâter… Et je ne le
vois pas lorsque j’ai envie que quelqu’un d’autre fasse tout le travail… Jean m’adore et me perçoit comme étant parfaite. Tel un aveugle, il ne distingue pas mes rares défauts… Et puis, il est
beaucoup trop fier pour m’imposer quelque contrainte que ce soit. Jamais de crises de jalousie, car il sait très bien qui est le maître et que ma vie privée ne le regarde pas.
Ce gentleman a rapidement constaté l’effet qu’il me faisait car je ne pouvais m’empêcher de le dévorer des
yeux dès son arrivée. Demeurant silencieuse, mes mains saisissent ses épaules de toute leur force et ma bouche se referme son cou.
Je me sens si petite dans ses bras ! Il met un doigt sur ma bouche pour me faire taire et, me tenant par la main, m’entraîne dans la chambre. Je suis étonnée de la douceur de ses lèvres, de la fraîcheur de son haleine. Mais je n’y pense pas très longtemps. Sur mon bassin, je sens avec joie l’enflure rigide qui se forme, laissant présager une agréable surprise. Il est lourd, insistant et son organe me fait délicieusement mal.
Je laisse sa langue explorer ma bouche avide, lécher mon cou, mes seins. Jean fait glisser son corps le
long du mien, m’écrasant, descendant le long de ma poitrine et de mon ventre, pour remonter vers ma bouche.
Ce gigolo me soulève de nouveau et m’emmène, comme si je n’étais qu’une petite fille d’un poids
négligeable. En tournant la tête de côté je peux voir Jean, son corps dans le miroir, s’agenouiller devant moi, écarter mes cuisses et me regarder. Regarder mon corps offert sans la moindre
résistance. Ses deux mains sur ma peau me font frissonner.
Ses deux pouces massent doucement l’intérieur de mes cuisses, remontant imperceptiblement, centimètre par
centimètre. J’attends avec impatience que ses pouces se posent enfin sur mon jardin secret déjà moite. Mais il l’évite, préférant le contourner. Il le masse au-dessus, au-dessous, l’ouvre et le
referme, rapprochant mes lèvres sans me donner ce que j’attends.
Je sens le liquide perler… D’un doigt trop timide mon amant s’en empare et le porte à ses lèvres, poussant
un petit grognement satisfait. Mes grognements, à moi, sont plutôt insatisfaits, impatients. Il le devine et ses pouces viennent écarter cette partie cachée de mon corps, l’exposant à son regard.
Ce séducteur parisien ne bouge pas et semble réfléchir. Alors que je ne l’espérais plus sa langue s’enfonce en moi, accompagnée d’un doigt inquisiteur qui me fait soupirer d’aise.
Le miroir me renvoie l’image d’une femme cambrée en proie à un désir puissant. Je suis bien décidée à le
laisser continuer ce qu’il a commencé… Son doigt s’enfonce en moi, sans merci, et sa langue efface à mesure toutes mes larmes. J’ai envie de hurler, je n’ai qu’une idée en tête : le saisir à
pleines mains. Je veux voir s’il est aussi alléchant que je le croyais et je veux l’enfouir au plus profond de moi. Devenir sa proie… Comme s’il lisait dans mes pensées Jean retire son pantalon,
récompensant mon attente d’une virilité formidable, gigantesque, luisante. Mais je ne suis pas au bout de mes peines… Il appuie le bout de son membre contre moi, fait mine d’entrer, s’humecte et
se retire. Il refait ce manège trois fois et se relève.
Mon homme de compagnie s’agenouille enfin devant moi et, d’un même
geste, comme s’il était déjà guidée, il glisse tout entier en moi me laissant impuissante devant l’assaut. L’image que j’aperçois tout à coup me semble étrange : allongée sur le dos au bord du
lit, je suis juste à la bonne hauteur pour subir, sans défense, l’attaque de mon amant. Et qui voudrait se défendre ? Il est immense ! Probablement la plus grosse queue que j’aie jamais eue en
moi. Je suis remplie, défoncée, étirée.
Je sens chaque soubresaut se répercuter dans mes reins et mon ventre s’engourdit. Alors que je doute
pouvoir le supporter plus longtemps, il me caresse allègrement, au rythme de son sexe. Ne me laissant nul autre choix que de jouir sans retenue… Mais cela ne lui suffit pas. Je comprendrai plus
tard que Jean ne faisait, à ce moment-là, que réchauffer ses muscles.
Mes seins se soulèvent et tremblent à chaque coup. Est-ce vraiment moi, là, devant ? Je ne me reconnais
plus. Je suis telle une spectatrice, regardant un film des plus suggestifs, et dans lequel, je ne feint pas. La fille devant moi s’empare de ses seins, les caresses douloureusement tandis que,
derrière elle et de plus en plus furieusement, le Don Juan s’enfonce, se retire, la pénètre davantage en une danse effrénée.
Elle sent un autre orgasme s’annoncer : sa tête frissonne, son ventre est pris d’une vague de chaleur
subite et ses muscles se contractent. Elle se hâte et tente, tant bien que mal, d’atteindre ses cuisses, sachant qu’au premier contact de son doigt humide elle vibrera d’un orgasme brûlant. Jean
la devine et veut la faire patienter. Jean ralentit… Elle soupire et le supplie de continuer. Jean la soulève et ses jambes se nouent à la taille de Jean qui l’empale plus brutalement. C’est lui
qui, dans un geste ultime, dépose un doigt rugueux sur son sexe enragé. Il la sent couler, le barrage céder et il succombe à son tour.
Contact: man.jean@yahoo.fr
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