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Vingt minutes dans un jacuzzi remplie d’eau chaude bouillonnante avaient des vertus magiques. Céline sentait ses courbatures s’effacer, son âme se réchauffer. Rien d’autre n’existait en cet instant que cette sensation de flotter sur un nuage, et elle voulait en savourer chaque seconde. Dieu seul savait quand l’occasion se présenterait de nouveau. Le parquet grinça : hélas, son espace privé était sur le point d’être envahi.
Elle sentit la présence de son gentleman derrière elle avant même qu’il ne la touche. Sa voix s’insinua dans sa douce torpeur. Prenant une grande respiration, elle s’enfonça dans l’eau parfumée. Quand elle émergea, elle sentit une serviette sèche effleurer son visage. Jean pensait vraiment à tout.
Elle la pressa sur ses yeux et une odeur douceâtre lui parvint, mêlée à celle de la lavande. Elle tendit la main pour qu’il lui passe le shampooing. S’adossant au jacuzzi, elle s’abandonna. Peu lui importait qu’il puisse voir sa nudité à travers l’eau transparente. Pour une fois, elle ne voulait penser à rien, seulement profiter du moment présent.
On ne lui avait pas lavé les cheveux depuis qu’elle était petite fille. Elle détestait ça, d’ailleurs. Le contact de ces mains étrangères lui faisait toujours l’effet d’une intrusion.
Mais avec Jean c’était différent. Ses gestes ressemblaient plus à une caresse qu’à un acte mécanique et les mouvements circulaires de ses doigts dénouaient une à une toutes ses tensions. Elle soupira de bien-être quand il lui massa les tempes. Comment un tel homme pouvait-il se montrer aussi doux ?
Il lui demanda de pencher la tête en avant et de fermer les yeux. Elle obéit à regret car cela signifiait la fin de ce moment délicieux. Cette pensée la fit tressaillir. Depuis quand associait-elle un homme à la notion de plaisir ?
Un torrent d’eau chaude ruissela sur sa tête et ses épaules. Une cascade de volupté après une journée en tout point horrible. Jean lui glissa de nouveau un linge sec dans les mains. Comme elle s’essuyait le visage, il rassembla ses cheveux en arrière pour les essorer.
Elle jeta un coup d’œil à ses mâchoires têtues et se figea : il était torse nu. Elle prit une respiration et essaya de se raisonner pendant qu’il soulevait un autre broc. Elle n’avait aucune raison de paniquer. Il avait enlevé sa chemise pour ne pas être mouillé pendant qu’il lui lavait les cheveux, voilà tout. C’était une question de bon sens.
Le plancher craqua. Il y eut un cliquetis métallique et une nouvelle cascade parfumée déferla sur elle. Puis elle sentit de nouveau les mains de Jean dans ses cheveux, malaxant les nœuds, s’enfouissant plus profondément pour lui masser le crâne, trouvant tous ces petits points sensibles qui la faisaient fondre de bonheur.
Il glissa ses doigts vers les creux derrière ses oreilles, répandant un frisson exquis dans tout son corps. Cessant de lutter, elle se laissa aller dans l’eau. Ses jambes repliées ne pouvaient pas flotter mais ses genoux se relâchèrent et s’ouvrirent. Ses pieds ne la faisaient plus souffrir. La chaleur les anesthésiait.
Elle était prête à faire tout ce qu’il demanderait pour qu’il n’interrompe pas ce moment de pur délice. Elle s’abandonna avec un soupir. Aux petits mouvements dans ses cheveux, elle devina qu’il travaillait à démêler les nœuds. Il procédait lentement sans que ses gestes paisibles trahissent la moindre impatience.
Sa voix était un peu rauque. Elle regarda la cuisine entre ses cils mi-clos. La pièce qui lui avait paru étrangère et hostile à son arrivée lui semblait maintenant intime et accueillante. Elle sentit les dents du peigne glisser près de son cuir chevelu. Déjà ?
Il continua par un massage, ses gestes devenant peu à peu plus lents, plus amples. Une odeur subtile se mêla à celle de la lavande. Sa présence envahissante la rassurait. Etre massé à un escort boy avait ses avantages, finalement.
Il abandonna ses épaules pour lui masser le cou, appuyant doucement sa tête contre son torse pour faire glisser ses doigts de chaque côté de son menton puis de nouveau vers ses épaules. Il ouvrit les mains en éventail pour atteindre le renflement de ses seins avant de remonter vers son cou. C’était si bon qu’elle ne protesta pas quand il prolongea le mouvement un peu plus loin, effleurant l’aréole de ses seins.
Elle ouvrit les yeux, choquée de s’entendre gémir. Ses mains effleurèrent la pointe durcie de ses seins. Une sensation aiguë la traversa comme une aiguille. Elle sursauta et esquissa un mouvement de recul.
Il l’immobilisa en pressant ses avant-bras sur ses épaules et se pencha pour lui murmurer à l’oreille de lui faire confiance.
Sa voix rauque glissa sur ses nerfs tendus avec la même sensualité que ses doigts sur ses mamelons. Une onde de chaleur se répandit dans ses membres, trouvant un étrange écho au creux de son ventre.
Il était un gentleman pour femmes exigeantes, un professionnel du plaisir et il possédait de vrais dons de sorcier : elle n’avait plus aucune volonté. Il répéta la même caresse, encore et encore, glissant de ses épaules à sa poitrine, décrivant un cercle autour de la pointe sensible de ses seins avant de remonter vers ses épaules. A chaque passage, la sensation se faisait plus intense et son plaisir se mêlait de frustration. Elle en voulait plus.
L’eau clapota quand elle souleva ses hanches, les vaguelettes déclenchant une myriade de sensations entre ses cuisses. Ses genoux s’ouvrirent et d’autres petits frissons liquides se faufilèrent dans ses replis les plus intimes.
Comme s’il avait deviné son attente, Jean referma la main sur son sein droit et frotta sa paume sur sa pointe dressée. Son cri étouffé se doubla d’un petit sursaut quand il fit descendre sa main le long de son ventre. Il hésita une seconde, puis prolongea sa caresse sous l’eau, jusqu’à son triangle de boucles dorées.
La voix de la Céline se perdit car au même moment il posa son autre main sur son sein gauche et le pressa doucement. Une sensation brûlante, presque douloureuse, enflamma son entrejambe. Avant qu’elle ait pu reprendre son souffle, il saisit son mamelon entre ses doigts tout en effleurant d’un doigt son clitoris. Aucune brutalité dans son approche, contrairement à ce qu’on aurait pu attendre d’un homme comme lui… et de sa réputation.
Sans doute était-ce la fatigue qui l’empêchait de se rebeller mais elle ne se débattit pas, et elle ne résista pas. Elle se transforma en statue, victime impuissante de Jean le magicien de l’amour.
Au bout de quelques minutes, le charme qui la pétrifiait commença à se dissiper et elle se souleva pour aller au-devant de ses caresses. Le plaisir monta. Elle n’avait jamais rien ressenti de comparable à cet éclair de volupté qui la fit trembler de la tête aux pieds quand il accentua la pression de ses doigts sur son intimité.
Elle se tortilla quand il pinça son mamelon, interrompant le contact sur son jardin secret. D’une pression sur les épaules, il la fit doucement basculer en arrière.
Tout son corps aspirait à onduler, à aller au-devant de ses caresses. Elle essaya de ne pas bouger mais comment ne pas réagir alors qu’il pinçait la pointe de son sein puis son clitoris en alternance, la projetant d’une sensation exquise à une autre ?
Elle poussa un petit cri quand il s’interrompit.
Elle n’avait jamais ressenti une telle volupté. Elle ne savait même pas que cela existait. Ses doigts enserrèrent son pistil d’amour, de la même façon qu’ils enserraient son mamelon. Leur rugosité était plus perceptible ici, plus excitante encore. Puis il effectua une petite traction sur sa chair brûlante et elle dut se mordre les lèvres pour ne pas crier.
Il pressa sa bouche sur la sienne, insinua sa langue entre ses lèvres pour la forcer à les ouvrir. Il voulait l’entendre crier. Il lui butina la joue tout en pinçant son mamelon plus fort. La douleur fugitive la fit geindre. La sensation de chaleur qui suivit lui fit avancer les hanches pour aller au-devant du plaisir en écho qui allait suivre.
Il pinça doucement son jardin secret. Elle gémit, incapable d’analyser ce qu’elle ressentait. Etait-ce de la douleur ? Du plaisir ? Il recommença et ses pensées s’éparpillèrent. Peu lui importait de savoir si c’était bien ou mal. Tout ce qu’elle voulait c’était qu’il continue, encore, plus fort.
Il continua à la caresser au même rythme et au bout de quelques instants elle n’y tint plus et souleva les hanches. L’eau clapota. Elle essayait tellement de contrôler cette réaction. Il répondit à son attente en caressant simultanément son mamelon et son clitoris, accueillant ses gémissements par des murmures d’approbation, immobilisant son buste avec ses bras mais laissant ses hanches se cambrer sous ses caresses, riant de la sentir se tortiller sous lui.
Oh, Dieu, elle ne pouvait pas en supporter davantage ! Tournant la tête, elle planta ses dents dans son biceps et éprouva un plaisir presque animal en entendant son cri étouffé.
Il lui demanda de se pencher en avant. Elle obéit. Le choc de sentir son grand corps se glisser derrière elle dans le jacuzzi la ramena brutalement sur terre. Il n’était pas torse nu, comme elle le croyait. Il était totalement nu.
Sans lui laisser le temps de protester, il la lâcha pour lui enserrer la taille, et l’air froid contracta ses mamelons brûlants. L’eau déborda tandis qu’il passait ses jambes entre les siennes.
Elle s’appuya sur ses cuisses pour se soulever pendant qu’elle plaçait ses genoux entre la paroi de la baignoire et ses hanches. Son poignet effleura son clitoris tandis qu’il présentait son sexe bandé.
Elle obéit et sentit son sexe se presser sur ses replis brûlants. Elle retint son souffle en prenant conscience de sa taille. Il écarta ses replis avec ses doigts et caressa son clitoris comme s’il cherchait à l’apprivoiser par une caresse familière.
Son autre main se referma sur son sein et se remit à la caresser, à la titiller et à la tourmenter jusqu’à ce qu’elle n’en puisse plus de désir. Comme elle se tortillait en gémissant, il la fit basculer doucement en avant pour que son clitoris soit au contact de son sexe dur comme le roc.
Elle retint son souffle quand il posa sa main libre sur ses fesses. Son pouce s’insinua dans la fente, osant une caresse là où personne ne l’avait jamais touchée.
Toute son attention était focalisée sur ce pouce. Quand il ponctua son ordre d’une lente pression, elle obéit, allant et venant le long de son sexe. Son pouce épousa le mouvement, appuyant, dessinant des petits cercles, la distrayant du plaisir qu’elle éprouvait à se frotter contre lui.
Si elle descendait, elle irait au-devant de son pouce. Elle hésita. Le frémissement fiévreux de son clitoris lui intimait de bouger, de lui procurer cette caresse délicieuse qu’il attendait. Une pression sur son mamelon décida pour elle : elle sursauta, et une étincelle de désir la traversa pendant que la pression de son doigt entre ses reins ajoutait à son plaisir en lui donnant une note plus sombre, interdite. Il n’y avait ni douleur ni intrusion, juste ce contact qui la tentait et l’excitait à la fois.
Fermant les yeux, elle continua à se laisser glisser le long de son sexe. Il n’essaya pas de la pénétrer, il la laissa aller et venir contre son sexe bandé, frémissant sous son langoureux va-et-vient. C’était bon, quelque chose qu’elle n’imaginait même pas… Et plus elle ondulait contre lui, plus elle sentait son pouce glisser entre ses reins. Mais ce n’était pas invasif, comme elle l’avait d’abord redouté. Juste une sensation de plaisir accru. Lâchant son sein, il releva ses cheveux pour dégager son épaule. Elle sentit son regard la brûler et son sexe tressauter contre elle pendant qu’il soupirait de plaisir.
Il était à deux doigts de jouir, elle sentait son corps vibrer sous le sien. Elle se frotta contre lui, savourant la sensation et la réalité de ce qu’elle s’apprêtait à avouer.
Il était si différent de ce qu’elle avait connu jusqu’ici. Après tout, il était son escort boy et il savait comment faire pour la satisfaire. L’extrémité gonflée de son clitoris frotta le bout de son sexe et elle sursauta. Oh Dieu, oui ! Jean la stabilisa, la poussant jusqu’aux limites du plaisir sans jamais l’autoriser à franchir la ligne inconnue qui la terrifiait et l’appelait tout à la fois.
Elle secoua la tête, trop effrayée pour franchir ce petit pas qui la libérerait. Elle sentit sa main se faufiler dans son triangle de boucles et son pouce chercher son clitoris gonflé puis le presser contre son sexe brûlant. La tension qui s’était emmagasinée en elle explosa d’un seul coup. Tout son corps se désintégra sous l’intensité de son orgasme.
Le sexe de Jean tressautait contre elle, créant des ondes de plaisir qui l’emportaient toujours plus loin. Elle se mordit la lèvre pour ne pas crier tandis que son clitoris se contractait au même rythme saccadé que les battements de son cœur.
Un instant plus tard, tout en lui murmurant des mots doux, il referma ses grandes mains sur ses hanches et la fit doucement basculer vers l’avant, à genoux. Et elle sentit alors son souffle lui caresser les fesses.
Elle allait mourir d’embarras, à coup sûr. Elle sursauta quand il pressa son visage sur ses fesses. Doucement, tendrement, il caressa son passage étroit avec sa langue, le léchant tendrement.
Céline tâtonna derrière elle et lui donna une tape sur la tête avec ce qui lui restait de forces, stupéfiée par l’incroyable faiblesse de ses muscles.
Son sexe se contracta en sentant cette caresse interdite. Puis il la souleva plus haut, ses coudes écartant ses cuisses. Même si elle savait ce qui allait venir, rien ne l’avait préparée au plaisir ineffable de sa langue sur sa chair frémissante.
Avec un soupir de satisfaction, il la lécha, la titilla. Ignorant ses protestations et ses efforts pour se dégager alors que sa chair trop sensible refusait ces caresses proches de la souffrance. Puis un nouvel orgasme la traversa et elle laissa échapper des petits gémissements pendant qu’il la faisait tourner vers lui.
Il referma sa bouche sur son mamelon gonflé et la plaça au-dessus de son sexe tendu de désir avant qu’elle ait pu reprendre ses esprits. Incapable de lutter davantage, elle appuya sa tête contre son épaule et se laissa glisser sur lui.
Elle accentua la pression et il tressauta, ses dents titillant son mamelon, puis une fois encore il la stoppa avec ses mains.
Le faire jouir, oui. C’était ce qu’elle voulait. Les spasmes de l’orgasme palpitaient encore en elle comme des vagues. Elle les laissa étreindre son sexe comme des baisers intimes, lui faisant partager le plaisir qu’il lui avait fait découvrir, ondulant jusqu’à ce qu’il renverse la tête en arrière et que ses mains se referment sur ses hanches comme un étau, la scellant à lui tandis qu’il gémissait son prénom, gravant la réalité de la scène dans son esprit.
Il était son gentleman et il lui avait donné du plaisir. Il ouvrit les yeux, comme s’il entendait ses pensées. Son étreinte se resserra, ses hanches se soulevèrent. Une angoisse s’insinua dans son plaisir tandis qu’il entrait légèrement en elle, près de jouir.
Elle était épuisée, écartelée. Elle avait besoin d’un répit. Mais il ne le lui accorda pas. Son pouce chercha son clitoris et le caressa. Alors, parce qu’elle avait envie de le sentir venir en elle, parce qu’elle avait envie de le sentir en elle, tout simplement, elle se laissa glisser le long de son sexe. Son envie de lui dépassait son instinct de survie.
La joie irradia à travers la douleur tandis qu’elle descendait plus bas. Jean prit ses fesses dans ses mains et l’arrêta, refusant ce à quoi ils aspiraient tous les deux. Elle croisa son regard assombri par la passion pendant qu’il frémissait, secoué par un ultime spasme.
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