Comme hypnotisée, Anne-Marie observa son escort boy en train de se déshabiller, ôtant lentement ses vêtements un à un,
avant d’ouvrir un des tiroirs pour en sortir une corde. Il était magnifique. Il émanait de lui une virilité presque animale.
Il était mince et sportif sans être trop musclé, il ne semblait pas du tout gêné par sa nudité ni par son érection
persistante. Anne-Marie ne pouvait s’empêcher de le détailler du regard encore et encore, fascinée par la preuve évidente de son désir pour elle.
Étrangement, elle n’était pas du tout effrayée par le spectacle qu’il offrait, bien au contraire. Elle était fascinée
par la beauté de son sexe magistralement dressé. Ses pensées brûlantes la firent rougir. Voilà qu’elle admirait le pénis d’un gigolo comme on admirait une oeuvre d’art dans un musée ! C’était
idiot, certes, mais elle ne pouvait s’en empêcher, le corps de cet homme était ce qu’elle recherchait en tout point.
Jean referma le tiroir et se tourna vers elle. Il lui tendit la corde et elle la prit d’une main tremblante, ne sachant
pas trop quoi faire avec. C’était elle qui était censée prendre les choses en main, mais elle attendait tout de même un coup de pouce de sa part. Comme s’il avait lu dans ses pensées, il se
glissa sur le lit d’un geste souple et s’allongea sur le dos en s’étirant tel un félin.
Il leva ensuite les bras au-dessus de sa tête et noua ses mains autour de l’une des barres de la tête de lit. Elle
l’attacha. Anne-Marie avait devant elle un homme inconnu entièrement nu qui était prêt à se plier à sa moindre volonté. Dieu seul savait à quel point elle avait envie de lui. Elle avait tellement
envie de Jean que c’en était presque douloureux.
Elle grimpa sur le lit et lui attacha les deux mains avec la corde avant de vérifier que le noeud était bien serré.
Elle savait qu’il ne lui ferait pas le moindre mal, mais son subconscient la poussait à agir ainsi afin de s’assurer qu’elle était vraiment en sécurité. Elle tira sur la corde encore une fois
puis se redressa et s’assit sur ses talons, parcourant lentement le corps de Jean du regard.
Elle aurait pu passer des heures et des heures à l’admirer. Il était le rêve de toute femme. Elle avait envie de le
toucher, le caresser, le goûter. Elle brûlait d’envie pour lui.
Timidement, elle commença par lui caresser le torse. Elle pouvait sentir ses muscles se contracter sous ses doigts et
s’attarda quelques instants sur la fine toison qui recouvrait ses pectoraux avant de descendre plus bas en suivant la ligne de ses abdominaux, parfaitement dessinés.
Anne-Marie posa les mains à plat sur ses épaules et les laissa lentement glisser le long de son torse et de son ventre,
le regard déviant sans cesse vers l’endroit qu’elle voulait toucher le plus. Son sexe tendu, dressé contre son abdomen, était désormais à quelques millimètres de ses doigts. Un petit geste et
elle le toucherait. Sans rompre le contact de ses mains sur son ventre, elle s’installa de façon à pouvoir voir son visage, lire ses réactions dans son regard. Puis, elle referma une main autour
de son érection et suivit du pouce la veine qui descendait jusqu’à la base de son sexe.
Avançant ses hanches vers elle, Jean poussa un gémissement. Avide de continuer son exploration, Anne-Marie descendit sa
main le long de son érection puis la remonta lentement.
Elle se pencha vers lui et pressa ses lèvres contre son ventre, juste au-dessus de son érection. Il tressaillit
aussitôt, exhalant un long soupir, ce qui poussa Anne-Marie à aller encore plus loin. Doucement elle déposa un baiser sur son gland avant de l’effleurer avec sa langue.
Consciente de son nouveau pouvoir, elle le prit dans sa bouche et le caressa avec sa langue un long moment. Elle le
prit ensuite de plus en plus profond, le suçant et l’enveloppant de sa langue en même temps. Entendre le souffle saccadé et les gémissements de Jean l’excitait de plus en plus. Elle n’avait
aucune expérience de ce genre de choses et se laissait guider par son instinct.
Laissant ses mains errer sur son corps, elle accéléra le mouvement de sa bouche. Elle entendit Jean émettre un son
guttural et il souleva les hanches du matelas, s’enfonçant ainsi profondément dans sa bouche. Anne-Marie leva le regard vers lui et s’aperçut qu’il tirait sur la corde qui lui nouait les mains,
une expression de pur plaisir sur son visage.
Elle referma ses doigts autour de son sexe, dur comme de l’acier et, en même temps, doux comme du velours. Elle
entreprit un mouvement de va-et-vient avec ses doigts tout en penchant sa tête plus bas encore pour taquiner ses testicules avec sa langue.
Soudain, le cri de Jean déchira le silence qui les enveloppait. Anne-Marie le regarda jouir avec fascination tout en
continuant à le caresser et ne le relâcha qu’une fois qu’elle le sentit se détendre dans sa main. Puis elle détacha ses liens.
Elle venait de vivre là l’expérience la plus belle et intense de toute sa vie. Elle avait été profondément troublée de
voir Jean prendre autant de plaisir. Tout à coup, elle se sentit vide et… agitée. Ses seins étaient plus tendus que jamais, et son sexe se contractait entre ses cuisses. Une étrange pression ne
cessait de croître au creux de son ventre et elle ignorait comment s’en délester. Elle ne savait pas quoi faire et encore moins quelle était l’origine de ce besoin aussi intense
qu’inassouvi.
Tremblante, elle se leva du lit et commença à se déshabiller. Le regard fuyant, elle fit glisser sa robe le long de son
corps. Elle était désormais presque nue, en soutien-gorge et petite culotte. Rien d’autre. Sentant la panique la gagner, elle fit un effort pour garder son calme. Un à un, les souvenirs du passé
resurgissaient à sa mémoire et elle tenta de les chasser. Elle se sentait vulnérable.
Rapidement, elle croisa son regard et fut rassurée d’y lire de la compréhension. S’il n’avait pas été aussi
bienveillant, elle se serait probablement dégonflée sur-le-champ. Il lisait en elle et savait à quel point il lui était difficile d’affronter et de surmonter ses peurs.
Son compagnon de jeu dégrafa son soutien-gorge et le retira puis enleva sa petite culotte qui alla rejoindre sa robe au
sol. Il plongea son regard dans le sien.
Le gigolo la caressa, il voulait lui donner du plaisir, la faire jouir. Il voulait la voir jouir. Elle écarquilla les
yeux, complètement perdue. Il prit ses seins en coupe et caressa ses tétons. Cela lui faisait du bien.
Il fit remonter ses mains sur son ventre, vers sa poitrine, puis couvrit ses seins et elle frissonna de plaisir quand
il effleura ses mamelons de ses pouces.
Elle ferma les yeux et laissa échapper un petit gémissement, entrant petit à petit dans son jeu
sensuel.
Son amant d’un soir glissa une main entre tes cuisses tout en continuant de caresser le téton avec l’autre. Il écarta
les replis de son jardin secret ; il voulait voir son bouton d’amour.
Les yeux toujours fermés, il l’entraina dans un tourbillon sensuel et descendit une main le long de son ventre et la
posa sur son intimité. Il frôla son clitoris du bout des doigts puis écarta les replis de son sexe.
Elle gémit de plaisir et il commença à la caresser. Elle arqua son corps sous ses caresses pendant qu’il jouait avec le
bouton enflé de sa fleur.
Elle se sentait divinement bien. Une tension délicieuse montait en elle. Ses seins étaient gonflés et ses mamelons
durcis par le plaisir. Chacune de ses caresses et chaque encouragement de Jean accentuaient la chaleur qui s’était nichée au creux de son ventre. Sa vulve pulsait de plus en plus
fort.
Poussant un long soupir, elle rejeta la tête en arrière. Elle ne se reconnaissait plus, elle était devenue une créature
sauvage, une femme sensuellement désinhibée. Elle se sentait libre. Rassurée. Elle se sentait en sécurité. Dans cette chambre, personne ne pouvait lui faire du mal. Il n’y avait que Jean et elle,
consumés par un désir intense.
Elle n’avait plus honte d’elle-même, de son corps. Elle voulait partager ce moment magique avec lui. Elle introduisit
un doigt en elle puis le porta à la bouche de Jean pour lui faire goûter la moiteur de sa chair intime, la preuve de son plaisir. Il captura son doigt entre ses lèvres et le suça en émettant un
son de satisfaction.
Sentant l’orgasme monter en elle, Anne-Marie il replaça sa main entre ses cuisses et caressa fébrilement son sexe. Elle
n’allait pas tarder à jouir. Augmentant la pression et la friction de son doigt contre son clitoris, elle renversa de nouveau la tête en arrière, terrassée par une vague de plaisir qui déferla
brusquement en elle.
Son orgasme lui arracha un cri et elle tressaillit, traversée par plusieurs spasmes d’affilée. Haletante, elle se
pencha en avant, posant les mains à plat devant elle. Elle avait besoin de Jean, elle voulait sentir ses bras autour d’elle, le contact de sa peau contre la sienne. Elle avait besoin de
s’imprégner de lui, de sa force. Elle avait besoin de se sentir en sécurité. Elle s’endormit dans ses bras.
Contactez moi pour vivre cette histoire avec vous: man.jean@yahoo.fr