Mercredi 23 janvier 3 23 /01 /Jan 11:11

Madame et Monsieur étaient mariés depuis de nombreuses années. Ils s’aimaient passionnément, mais la routine avait envahi leur couple. Elle, tempérament de feu, rêvait de relations épicées, tandis que lui, caractère plus renfermé, semblait se satisfaire de leur quotidien. De nombreuses fois, Madame avait essayé d’attirer l’attention de son mari, en pure perte. S’il comprenait ses désirs, il semblait peu enclin à les réaliser avec elle. Pas par désintérêt, plutôt par méconnaissance. Répondre à ses fantasmes serait ne pas la respecter, pensait-il. Mais que savait-il vraiment des envies profondes de Madame ?

Le mari les découvrit par hasard, en procédant à la maintenance de l’ordinateur. Un fichier ouvert par mégarde, contenant des mails sauvegardés, lui donna à réfléchir. Un mystérieux correspondant, Jean Escort boy pour femmes exigeantes, échangeait avec Madame depuis des semaines ; il lui avait fait avouer ses fantasmes les plus secrets. Surpris, Monsieur prit le temps de la réflexion, puis sans rien dire, contacta cet homme. Il ne pouvait plus ignorer les attentes de sa femme, et si quelqu’un pouvait l’aider à comprendre, c’était bien le correspondant qui connaissait Madame plus intimement que personne...

Madame, elle, poursuivait ses intermèdes virtuels. Après tout, elle ne faisait rien de mal, puisqu’il ne se passait rien ! Aussi, quelle fut sa surprise quand Jean lui proposa une rencontre ! Elle n’était pas prête du tout, mais d’un autre côté, en y pensant, elle avait les jambes en coton, le cœur battant, le ventre en feu !

Qu’avait-il fait d’elle en l’espace de quelques semaines ? Elle avait bien cherché secours auprès de Monsieur, mais une fois de plus, son mari n’avait pas eu les mots qui auraient pu la retenir ! Désespérée mais décidée, elle envoya le mail que Jean attendait avec impatience : « J’attends tes instructions, je serai à toi quand tu le décideras. »

Ce matin là, c’est avec fébrilité qu’elle ouvrit ses emails. Au premier coup d’œil, elle reconnut le nom de Jean. Ses doigts tremblaient à la relecture de son message, qui ne comportait que quelques lignes : « Je suis disponible, retrouve-moi à 20 heures à cet hôtel. Tu y trouveras mes instructions ! »

 

trio  

Madame sentit une vague de chaleur monter de son ventre, gagner ses seins, dont les pointes saillaient. Une douce moiteur baignait son entrejambe. Ce soir, elle serait à lui, enfin ! Que lui réservait son mystérieux escort boy ? Il connaissait ses moindres envies, ses fantasmes les plus inavouables. Que lui réserverait-il ? Il lui avait promis de l’exceptionnel... 

La séance promettait d’être torride. Elle n’était pas fière d’elle : la soirée entre copines qu’elle avait prise comme alibi n’avait pas eu l’air de convaincre Monsieur. Il l’avait regardée partir avec un regard étrange, après l’avoir embrassée comme si c’était la dernière fois !

Il était presque 20 heures quand elle se gara devant l’hôtel. Un regard à son rétroviseur pour vérifier son maquillage, sa coiffure... Nerveusement, elle gagna la réception, où elle récupéra la clé qui allait lui ouvrir la porte du paradis. Enfin, elle pénétra dans une chambre confortable, qu’un chandelier éclairait. Une enveloppe était posée sur la table.

« Déshabille-toi. Garde uniquement ta lingerie, tes bas et tes chaussures ! Tu te placeras face au mur, à côté du lit, jambes écartées. Je veux que tu t’offres à mon regard en toute impudeur ! »

La lecture de ces mots provoqua une décharge électrique le long de sa colonne vertébrale. Elle retira son tailleur-jupe, laissant apparaître un corset noir brodé, lacé très serré, et des jarretelles. Une fine culotte noire voilait son sexe. Ses longues jambes gainées de soie noire étaient mises en valeur par des chaussures aux talons vertigineux, dont les brides enserraient ses chevilles comme des liens de cuir. Le cœur battant, elle s’installa face au mur... Son sexe ruisselait !

Un claquement de porte, des pas lourds, puis le silence ! Elle sentait un regard la détailler ; ça la rendait folle. Un souffle se rapprochait. Elle entendit la voix de Jean lui intimer l’ordre de se caresser.

Du bout de l’index, elle effleura sa bouche, pour descendre sur son menton, puis son cou. La situation inhabituelle la troublait. Sa main descendait maintenant sur son sein, en contournait l’aréole, au centre de laquelle s’érigeait le téton durci. Son corps était parcouru de frissons. Elle ne savait si c’étaient ses caresses ou l’immobilité de son amant qui provoquait en elle tant de sensations.

D’une voix calme, autoritaire, l’escort boy lui demanda de se tourner face à lui. Elle allait enfin savoir à quoi il ressemblait. Elle l’avait si souvent imaginé ! Aussi, quelle fut sa déception en se retrouvant face à un homme masqué d’un loup qui empêchait toute identification ! Pourquoi Monsieur n’était-il pas capable d’imaginer des scénarios pareils ? Madame aurait tout donné à ce moment précis pour que ce soit lui qui soit dissimulé sous le masque.

Ses mains couraient sur sa poitrine, jouaient avec ses pointes. Elle était là, adossée au mur de la chambre, en train d’effectuer un numéro d’exhibition dont elle ne se serait pas crue capable. Et tout cela, sous les yeux d’un parfait inconnu ! Ses longs doigts fins arrivaient sur son sexe partiellement épilé. Elle frôlait ses lèvres voilées, prenait soin d’éviter son jardin secret. le corps tout parcouru de frissons de plaisir.

Mais c’était de ses mains à lui dont elle avait besoin. Son regard devenait suppliant tant son envie était forte ; c’est d’un œil amusé qu’il la contemplait ! Sans la quitter des yeux, il ouvrit un sac à ses pieds, en sortit un vibromasseur.

Jean s’approcha de la jeune femme, caressa son visage avec le gode, jusqu’à l’amener à sa bouche. Elle comprit ce qu’il attendait d’elle, aussi lécha-t-elle l’engin avec gourmandise. Elle sentait la chaleur de l’homme sur sa peau nue, ce qui augmentait encore son excitation. La langue sur sa poitrine lui arracha des gémissements de plaisir. Jean délaissa le jouet, empoigna les mains de Madame, la plaqua violemment au mur, sa bouche mordillant, aspirant les tétons, lui arrachant des cris ininterrompus. Le corps de la jeune femme n’était plus que spasmes. 

L’escort boy descendit vers le sexe ruisselant, qui réclamait. Le souffle chaud de Jean sur son jardin secret, au travers de la mince culotte, lui déclencha un orgasme qui la fit crier.

Jean la releva, l’aida à s’asseoir sur le lit. De sa voix chaude, il lui demanda de s’allonger, jambes écartées, pieds au sol. L’indécence de cette posture leur était chère à tous deux. Comme il aimait pouvoir la contempler ainsi ! Ses mains trop longues remontaient des chevilles vers l’intérieur des cuisses, ne se lassaient pas de la douceur de la chair et de la soie. Les lèvres, extraordinairement mobiles, suivaient de près, provoquant un déferlement de sensations en arrivant enfin à leur destination finale : la magnifique chatte en attente.

La langue s’infiltra en elle, la fouillant, la buvant, alors qu’un doigt inquisiteur forçait son œillet. Le plaisir l’envahissait ; tout en elle devenait jouissance. Ses mains agrippaient la chevelure de son amant. Dans un râle, elle le supplia d’abréger son attente. Elle le voulait en elle, maintenant !

C’est à sa bouche que se présenta la longue queue dure épaisse. La langue gourmande s’enroula telle une liane à un arbre. Puisqu’il voulait jouer, ils seraient deux... elle jubilait à l’idée de lui faire frôler des sommets qu’elle rendrait inaccessibles ! Elle aspirait avec gourmandise le pieu palpitant, l’enduisait de salive. Entre deux caresses, son doigt s’arrêta, massa, puis pénétra la cavité secrète qui s’offrait à sa curiosité.

À ce rythme-là, il ne tiendrait pas longtemps ; il le savait. S’arrachant aux caresses de sa maîtresse, il l’installa confortablement et enfila un préservatif ; sa virilité prit possession d’elle rageusement. Jean voulait l’entendre hurler son plaisir sous ses assauts que ça décuplait sa puissance ! C’est avec un bonheur aigu qu’il venait buter au fond d’elle, lui arrachait des gémissements rauques. 

L’escort boy aimait entendre les femmes exprimer leur plaisir de cette manière, sans retenue ni pudeur ! Il ne s’en lassait pas. Il se retira du fourreau de braise qui l’enserrait ; le gland ruisselant caressa les globes blancs que séparait la raie sombre. Elle cambra les reins, offrant son cul à la queue tant espérée.

Tout en se frottant à la croupe accueillante, il reprit le vibreur délaissé pour investir le sexe détrempé. Son gland força l’anneau souple, qui l’aspira goulûment jusqu’à la racine. C’est elle qui imprimait son mouvement au gode qui la fouissait, tout en s’empalant sur le pénis vivant. Des ondes de plaisir déferlaient dans tout son corps ; les va-et-vient devenaient plus puissants. 

À ce moment seulement, le gentleman enclencha les vibrations. Tout le corps de Madame fut secoué de spasmes ; en hurlant, elle se tendit pour recevoir au plus profond le plaisir du mâle. Ils retombèrent enlacés, fourbus de tant d’émotions, heureux d’avoir partagé un tel moment.

La dernière chose qu’elle entendit fut un claquement de porte. En reprenant conscience, quelle fut sa surprise de constater qu’elle était en croix sur le lit, poignets et chevilles entravés. 

Ses yeux fouillèrent la pièce sombre, pour trouver, installé dans un fauteuil... Monsieur. Il la contemplait. Monsieur, qu’elle croyait sans imagination, avait conçu le scénario dans le seul but de lui permettre de satisfaire ses fantasmes ! Jamais elle ne l’aurait cru capable de ça. Fallait-il qu’il l’aime par-dessus tout pour passer outre à ses réticences. Elle se sentait débordante d’amour pour cet homme qui partageait sa vie depuis huit années déjà. Elle le découvrait dans toute sa générosité.

La dernière pensée de Madame, en cette soirée très particulière, fut un sentiment de reconnaissance. Elle avait toute la vie pour rendre au centuple le merveilleux cadeau que Monsieur lui avait fait. Son offrande sublime.

Monsieur, Voulez-vous que votre femme s'épanouisse dans le plaisir et la compagnie d'un gentleman qui la transportera dans la magie d'un monde hors du temps en toute discrétion et en toute sécurité. Oserez-vous me l'offrir pour qu'elle exprimes toutes ses envies et lâche prise lors d'une expérience unique dans un respect mutuel avec protection. A consommer sans modération...

Au plaisir de lui donner du plaisir. Mais avant tout faisons connaissance autour d'un drink sans engagement et je vous dirai tout ce que vous brulez de savoir. Contactez moi: man.jean@yahoo.fr ou +33(0)755186013

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Par Jean Escort Boy Hétéro Paris
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Mercredi 31 octobre 3 31 /10 /Oct 17:57

Le miroir de la salle de bains confirma ses pires soupçons. Elle avait les cheveux en pagaille. Son mascara avait coulé et il ne restait plus une trace de son rouge à lèvres. Elle avait l’air d’une femme qui venait de connaître l’orgasme le plus intense de toute sa vie.

Elle contempla son reflet avec incrédulité. Cette femme ne pouvait être Morgane. Elle était nue dans sa salle de bains, toujours chaussée de talons hauts, et Jean se trouvait dans sa chambre, où son escort boy attendait de pouvoir l’attacher et de lui faire des choses incroyables.

Morgane était si excitée qu’elle en avait presque mal au ventre. Elle était prête à le faire. Elle allait prouver à Jean qu’elle n’était pas une femme timide. Morgane se gargarisa avec une dose de bain de bouche et recracha le liquide. Elle ne voulait pas trop tarder. Jean l’attendait.

Lorsque Morgane sortit de la salle de bains, elle faillit battre en retraite en voyant son regard. L'escort boy était si avide, si impatient qu’elle frissonna. Dans quelle aventure s’était-elle lancée ? Pourtant, il était impossible de faire demi-tour. Si elle reculait maintenant, elle ne se le pardonnerait jamais.

Jean lui banda les yeux à l’aide du premier foulard. L’obscurité n’était pas totale, mais cela suffit à la faire osciller. Morgane frissonna, consciente de sa nudité et de la proximité de Jean. Elle entendait sa respiration, sentait sa chemise effleurer sa peau sensible.

Jean l’attira contre son torse. L'escort boy était toujours entièrement habillé, et le contact du jean contre sa cuisse nue lui donna des frissons dans le dos.

Elle se déplaça un peu maladroitement. Elle avait du mal à retrouver l’équilibre maintenant que ses yeux étaient couverts. Elle s’allongea avec obéissance sur l’édredon en lin. Jean prit chacun de ses poignets et enroula autour un foulard de soie avant de les attacher à la tête de lit en bois.

L'escort boy glissa ses doigts sous la boucle afin de vérifier la circulation de son sang. 

 

Morgane n’aurait su dire depuis combien de temps il était parti, mais, à mesure que le temps s’écoulait, sa nervosité augmentait. Finalement, la porte de la chambre s’ouvrit.

Les tétons de Morgane se dressèrent lorsqu’elle reconnut l’accent français de Jean.             Morgane sentit son souffle chaud sur sa cheville. L'escort boy ne plaisantait donc pas. Avec une lenteur infinie, Jean dirigea ses baisers jusqu’à son mollet, puis s’attarda sur la peau tendre derrière son genou avant d’embrasser l’intérieur de sa cuisse.

Morgane sentit une claque sur sa cuisse. Le matelas bougea lorsque Jean se dirigea vers l’extrémité du lit. L’escort boy fit subir la même torture à son autre cheville. Morgane sentit ses doux baisers, sa langue qui suçait et léchait doucement sa peau. De temps en temps, une brève morsure lui arrachait un gémissement.

Ensuite, Morgane sentit la bouche de Jean se promener vers l’intérieur de sa cuisse, et elle lutta contre l’envie de se tortiller. Son souffle se fit saccadé. Morgane ressentait des picotements sur chaque centimètre de sa peau.

Elle crut qu’elle allait chavirer lorsqu’elle sentit la vibration de la voix de Jean sur sa peau. 

Morgane remarqua que le matelas bougeait à nouveau. Jean s’agenouilla près d’elle et pressa des morceaux de glace sur ses lèvres. Elle sentit sa main lui caresser tendrement le front. Puis, elle entendit Jean briser de la glace et ouvrit la bouche.
Mais, au lieu de presser un morceau sur ses lèvres, Jean referma sa bouche pleine de glace sur son téton.

Le froid était si saisissant que Morgane arqua le dos et hurla. Jean posa alors sa main sur son autre sein, prit son téton entre ses doigts et tira doucement dessus.
Morgane lutta contre cette soudaine surcharge sensorielle, et ses efforts furent récompensés par une petite morsure. Elle sentait la glace fondre et couler entre ses seins. Jean lécha toute l’eau jusqu’à la dernière goutte.

Morgane ne put s’en empêcher. Elle gémit à nouveau. La bouche de Jean poursuivit son chemin, descendit le long de son abdomen et s’arrêta pour souffler une brise glaciale sur son pubis rasé. Morgane souleva les hanches afin de se rapprocher de sa bouche.

Morgane se tendit quand elle sentit Jean descendre du lit. Où allait-il cette fois ? Chercher plus de glace ? La sensation de sa main chaude entre ses jambes la fit presque bondir du lit. Elle s’arqua sous ses doigts et gémit de soulagement lorsqu’elle sentit un doigt se glisser en elle.

Ses paroles étaient presque incohérentes. Jean la récompensa en faisant lentement aller et venir son doigt en elle. Juste assez pour l’exaspérer, mais pas assez pour lui faire franchir le cap.

Morgane entendit un rire grave et sentit la brûlure d’une claque brutale sur sa cuisse.

Lorsqu’elle sentit la première caresse de la plume sur sa peau, Morgane tira sur ses liens. Jean s’assit à califourchon sur ses hanches, et le poids de son corps l’écrasa contre le lit.

Plaisir et douleur. Caresse tendre de la plume mêlée à la douleur aiguë de sa pointe lorsqu’il l’utilisa pour dessiner de lents cercles autour de ses tétons, puis des lignes sur ses seins et le long de son abdomen. 

Les terminaisons nerveuses de Morgane ne savaient plus comment réagir. Elles envoyaient des messages confus à son cerveau, si bien qu’elle était incapable de dire si elle détestait ou adorait ce mélange de sensations. Elle alternait cris de douleur et gémissements de plaisir. Son monde se résumait à Jean et à ses mains. Elle n’avait plus aucune notion du temps.

L'escort boy était devenu son monde, la lumière au bout du tunnel. Jean était le seul à pouvoir décider de lui fournir plus de plaisir ou de douleur ; Morgane ne pouvait rien faire d’autre qu’attendre en tremblant. Elle avait l’impression de flotter.

Un frisson de plaisir la parcourut lorsqu’elle entendit le bruit d’une fermeture éclair, et elle se tortilla en frottant ses cuisses humides l’une contre l’autre. Le lit grinça au moment où Jean se hissa sur le matelas et, soudain, ils furent peau contre peau. Son long corps musclé était étendu contre elle.

Morgane avait tant crié que sa voix était rauque. Sa bouche s’écrasa contre la sienne sans prévenir. Ce baiser n’exprimait aucune tendresse, juste un désir sombre et inflexible. Morgane sentit sa main se glisser dans ses cheveux et lui incliner la tête afin que Jean puisse lui dévorer la bouche aussi violemment qu’il le souhaitait.

Des baisers chauds lui couvrirent le cou et les seins. Morgane arqua son corps contre le sien, mais, cette fois, Jean n’eut pas envie de la taquiner.

Au premier passage de sa langue entre ses jambes, Morgane poussa un cri. Jean la lécha comme s’il voulait la manger. Sa langue chaude décrivait de lents cercles autour de son jardin secret impatient sans jamais vraiment le toucher.

Morgane se fichait de le supplier. Elle savait seulement qu’elle mourrait s’il ne lui offrait pas rapidement la délivrance.

Elle le suppliait maintenant de la prendre comme une bête en rut. Elle ne se serait jamais crue capable de prononcer ces mots à haute voix, mais il ne lui restait plus aucune dignité. Comme si ses paroles lui avaient signalé le départ, Jean se déplaça. L'escort boy remonta le long de son corps en l’embrassant sans modération, puis lui dévora la bouche.

Jean s’agenouilla entre ses cuisses et enfila un préservatif. Morgane ne cessait de trembler. Avec un lent coup de reins, il se glissa en elle, et Morgane poussa un cri. Elle enfonça ses ongles dans les foulards. Jean se retira peu à peu, puis s’enfonça brusquement en elle.

Morgane balança son corps contre le sien. Comme c’était bon ! Les coups de reins de Jean s’accéléraient à mesure qu’il perdait le contrôle de son désir.

On n’entendait rien d’autre que le claquement de la chair contre la chair et ses grognements. L'escort boy ne lui faisait pas l’amour tendrement, il la prenait sauvagement et elle aimait cela.

Jean la marquait comme sienne, et le corps de Morgane semblait l’y encourager. Elle ressentait des picotements sur sa peau chaque fois que Jean la touchait, et son cœur s’emballait. 

Cette union intense se conclut par une véritable explosion de plaisir. Les muscles internes de Morgane se resserrèrent autour de son sexe, son clitoris palpitait comme s’il était en feu, et des étoiles explosèrent sous ses paupières.

Lorsque Morgane revint à elle, elle était étendue entre les bras de Jean, ses liens étaient défaits, et ses yeux, découverts. Elle sentit le cœur de Jean battre contre sa joue et sa bouche enfouie dans ses cheveux.

Morgane se pelotonna entre ses bras et déposa un baiser sur le torse de son gentleman.
Par Jean Man
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Mercredi 13 septembre 3 13 /09 /Sep 14:20

Son mari la poudra légèrement, rehaussant ses pommettes d'un rose nacré. Il choisit un rose rouge pour ses lèvres, et un rose plus tendre pour les pointes de ses seins et les grandes lèvres de sa vulve. Lorsqu'il y fit glisser ses doigts, il constata qu’elle mouillait comme une fontaine. Elle imaginait déjà ce qui l’attendait.

 

Il l’apprêtait pour une soirée exceptionnelle. Et pour cause, son mari allait l’offrir à un gentleman qu’il avait recruté sur le net. Elle avait accepté d'avance cette soumission totale à ses envies et à son désir. Elle avoua avoir même mouillé dans l'attente de ce moment ; des frissons lui parcouraient le dos et les cuisses, et sa main se posait souvent dans son entrecuisse pour refréner certains tremblements d'excitation qui en disaient long.

 

Son mari lui rappela les règles du jeu qui étaient de tout accepter, cependant ils définirent un mot secret au cas où elle souhaiterait arrêter à tout moment le jeu. Son mari lui demanda alors de se dévêtir et de le rejoindre dans la salle de bains, où il avait fait couler un bain. 

 

Il y versa des sels de bain, avant de lui annoncer qu'il allait lui épiler la chatte. Elle voulut protester, mais se retint à temps. Allait-elle déjà transgresser les règles du jeu qu’elle venait d’accepter ?

 

Il enduisit lentement son mont de Vénus de crème, le massant lentement et faisant glisser la mousse entre les poils de son pubis gonflé. Elle fermait les yeux tandis que ses doigts effleuraient sa vulve. Puis, il lui demanda d'entrer dans l'eau, où il la savonna avec douceur : les bras, le cou, le dos et la poitrine, tout son corps, introduisant même un doigt au bord de son passage obscur pour y faire pénétrer un peu d'eau savonneuse afin d’en apprêter l'entrée. 

 

Elle se laissait faire docilement, se contentant de passer sur ses seins gonflés de sève la mousse chaude et parfumée du bain. Il la laissa ensuite se détendre dans le bain. Puis, l’ayant enjoint de se lever, à l'aide d'un petit rasoir, il entreprit de raser les poils de son pubis, révélant du coup une chair rosie et imberbe. 

 

Plus un seul poil ne venait dissimuler le renflement de ses lèvres. Elle s’admira longuement devant la glace, entrouvrant légèrement ses cuisses pour voir ses lèvres rosées et luisantes.

 

Elle était lavée et séchée. Son mari lui demanda de se parfumer : au creux du cou, des reins et des seins. Puis, il la laissa se maquiller. Son mari termina le travail. Dans la glace de sa salle de bain, elle découvrait sa sensualité provocante et inconnue : elle était devant une autre image d’elle-même, désirée et redoutée à la fois, mais néanmoins à l'origine de la formidable excitation qu’elle sentait monter en elle. 

 

Vint ensuite le choix des parures : un bustier de dentelle rouge lacé, des bas de nylon noirs rehaussés d’une fine couture apparente et un string du même satin rouge que le bustier. Lorsqu’elle l'enfila, le satin vint se poser sur son pubis, comme un voile mouillé sur une chair nue et c'était effectivement le cas.

 

Son mari regarda sa montre avant de la guider vers le lit et de l’y faire asseoir. Elle ne sait pas vraiment combien de temps elle a attendu ; jusqu'à ce que la sonnette de la porte d'entrée la fasse tressauter. Elle entendit son mari ouvrir la porte et elle entendit la voix grave du gentleman qui provenait du salon. Elle attendit encore peut-être cinq ou dix minutes, le temps nécessaire à son époux pour rappeler à leur gentleman les règles du jeu puis son mari entra.

 

Il prit sa main, elle savait ce qu’elle avait à faire, il la fit lever et l’emmena dans le salon. Le gentleman était assis dans l'un des canapés, un verre à la main, mais dès qu'il la vit, il se leva et la dévora littéralement des yeux. 

 

Son mari la poussa vers lui. Le gentleman approcha une main et la posa sur l'une de ses cuisses, qu’il devait voir se dessiner sous la soierie du déshabillé. Elle frémit au contact de cette main, et elle approcha légèrement sa jambe pour lui permettre d'accentuer sa caresse. 

 

Il souleva lentement son déshabillé et posa directement sa main sur son bas ; il remonta lentement, en faisant crisser le nylon, les yeux toujours fixés sur les siens. Elle ne put retenir un gémissement lorsque ses doigts s'attardèrent à l'endroit où la jarretelle tord le bas et où se découvre la chair rose de la cuisse. 

 

Puis, il arriva au renflement de sa petite culotte. Son autre main vint s'emparer du fin élastique et le string glissa lentement, révélant son pubis épilé.

 

Ses doigts se posaient doucement sur cette chair tendre qui a violemment frémi sous cette caresse inhabituelle. Son mari lui ordonna d’écarter les cuisses et elle obéit aussitôt, révélant sa vulve, ourlée d'une rosée d'excitation, qui sous les yeux de son mari et de cet homme, indépendamment de toute volonté, s'écartait doucement et inexorablement comme les pétales d'une rose. 

 

Le gentleman glissa alors deux doigts à l'entrée de sa vulve et une violente décharge de plaisir la secoua soudainement, la forçant à poser ses deux mains sur ses épaules. Son pouce posé sur son clitoris en écrasait doucement la dure proéminence, tandis que ses deux doigts continuaient de s'activer doucement en elle, provoquant un bruit absolument délicieux.

 

C'est à ce moment que son mari, qui était délibérément resté à l'écart jusqu'alors, s'approcha d’elle. Elle avait presque fermé les yeux. Les dents plantées dans ses lèvres écarlates pour éviter de trop gémir, elle se laissait lentement aller au plaisir que lui procuraient mes doigts qui s'agitaient en elle. On l’entendait néanmoins gémir doucement, comme si ce corps caressé ne lui appartenait déjà plus et qu’elle était devenue incapable d'en maîtriser les élans.

 

Elle sentit son mari derrière elle, très près. Il vint s'asseoir sur le sol entre ses jambes écartées. Soulevant la dentelle de son déshabillé, il glissa sa tête sous la soierie et l’aida à se débarrasser de son string toujours tordu entre ses chevilles, puis il approcha son visage de son entrecuisse, il avait une vue imprenable. Soudain, elle tressaillit : Son mari venait de poser la pointe de sa langue à l'entrée de son côté obscur. 

 

Elle s’abaissa un peu plus pour mieux tendre ses fesses, et la langue de son mari prit soudain possession de son côté obscur. C’était délicieux, cette caresse chaude, tandis que les doigts du gentleman continuaient de fouiller son intimité et de titiller son jardin secret.

 

Le gentleman posa alors ses mains sur ses seins ; écartant la dentelle du déshabillé, extirpant sa poitrine du bustier et prenant ses tétons qui dardaient déjà entre ses doigts, pour les malaxer de plus en plus sévèrement. La tête lui tournait, son corps chavirait.

 

Le gentleman avait défait la ceinture de son pantalon et sorti son membre de son boxer. Elle ne résista pas à la tentation : elle abaissa les yeux en direction de son énorme queue bandée. 

 

Ses lèvres entourèrent doucement l'engin dressé et sa bouche se referma avidement sur cette virilité de chair palpitante. Salivant, humectant sa queue au maximum, elle le pompait doucement, de bas en haut, arrêtant parfois son mouvement au bord de son gland, pour laisser courir sa langue sur son méat gorgé de l’élixir du plaisr. Son gland écarlate sortait parfois de sa bouche, mais vite, ses lèvres en reprenaient possession. 

 

Lorsqu’il sentit monter en lui le feu de l'excitation, le gentleman la força à s’allonger sur le sol, les fesses reposant toujours sur le visage de son mari, puis s'accroupissant entre ses cuisses, il enfila un préservatif avant d’introduire sa grosse queue dans sa chatte brulante.

 

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Elle poussa un cri, car la pénétration était raide, un peu inattendue, mais son plaisir allait rapidement la submerger avec une violence inouï. Elle sentait le gentleman plonger au plus profond d’elle, et son va-et-vient lui arrachait de petits cris de jouissance et des halètements qu’elle n'arrivait pas à contrôler. 

 

Puis, son mouvement s'accéléra, et la langue de son mari fut remplacée par un doigt qui s'enfonça soudain dans son côté obscur jusqu'à la garde, l’effet fut aussi surprenant qu'excitant. Jamais son mari ne lui avait fait cela auparavant. 

 

Elle ne se rappela jamais de ce qu’elle dit pendant qu’elle jouissait, mais ça n'avait plus aucun rapport avec son statut de femme mariée. Quand l'orgasme est venu et l’a terrassée, elle tremblait de tout son corps.

 

Puis elle a regardé son mari dans les yeux et lui a demandé, en l'implorant presque : « Viens, fais-moi l'amour, prends-moi par derrière ! » Il s’est déplacé et, aussitôt, elle a senti, à l'entrée de son côté obscur, sa langue qui lubrifiait son orifice, avant qu'il n’y présente son gland. 

 

Petit à petit, sa queue s’est enfoncée dans son côté obscur, jusqu’à ce que ses parties viennent se coller à ses fesses. Il s’est alors arrêté de bouger. Impatiente, elle l’a exhorté à continuer. A ce moment là, le gentleman lui a présenté sa queue pour qu’elle puisse la sucer alors que son mari la prenait par derrière.

 

Son mari prit conscience que maintenant c’était lui qui la dominait. Il a commencé doucement son mouvement de va-et-vient, puis le rythme, allant crescendo, a atteint une violence qui, à nouveau, lui a arraché des râles de plaisir.

 

Mais il n’a pas tardé à exploser au fond de son côté obscur, ne résistant plus à ce rythme endiablé. Puis le gentleman se rhabilla en silence. Faisant semblant de dormir, elle le vit ramasser ses affaires sur la table, puis sortir sans faire de bruit. 

Par Jean Man
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Lundi 24 avril 1 24 /04 /Avr 11:30

Les femmes marchent sur un fil. Tour à tour prudes, coquines, salopes, fragiles. Définir celle que vous êtes face au monde extérieur est un exercice d’équilibre permanent. C’est épuisant. Mais pour certaines femmes, c’est un prétexte qui leur permet de dire ce qu’elles ont vraiment en tête, de pardonner même si elles savent qu’elles ne devraient pas… et qui les pousse à s’adonner à tous ces mauvais petits fantasmes, sans en rougir.

 

Elle se précipite dans la cuisine, fière d’elle. Lorsqu’elle pose le pied sur le carrelage froid, la chair de poule envahit ses jambes, puis ses bras. Elle a vraiment soif, alors elle prend un verre dans le placard et elle le remplis d’eau fraîche.

 

Debout devant l’évier, elle avale une gorgée et elle ferme les yeux tandis que le liquide froid apaise sa gorge sèche. Une goutte s’échappe sur son menton, glisse le long de sa clavicule et descend sur son sein.

 

Soudain, elle sent une pression dans son dos qui la bloque. Elle laisse échapper un cri et le verre tombe en se brisant dans l’évier. Elle ignore comment un homme a pu se glisser chez elle. Ses mains puissantes l’attirent et la font prisonnière. Elle frissonne tandis qu’un souffle chaud et envoûtant vient caresser mon oreille.

 

La voix est basse, pas en colère mais ferme. C’est incroyablement excitant. Une main l’attrape contre le rebord de l’évier. L’inconnu pousse sa tête sur le côté et l’embrasse, le gentleman plonge sa langue dans ma bouche. Son baiser est possessif. Dominant.

 

Quelques secondes plus tard, il s’introduit facilement en elle et adopte un rythme marqué, son bas-ventre claquant contre ses fesses à chaque coup de hanche. C’est grisant. Elle l’entend gémir. Elle ressent comme une morsure au contact du rebord contre son ventre, mais elle s’en moque. Elle ne sent que lui. Il la contrôle, la conduit, la possède.

 

Sa main libre attrape la sienne et l’amène devant, vers son jardin secret. Il presse sur ses doigts vers le bas pour mieux la convaincre de lui faire plaisir. Il libère sa main mais il continue de la caresser comme il le veut. Comme si elle était une marionnette et lui le marionnettiste. Puis, il se recule et la chaleur de sa poitrine s’éloigne.

 

Jean me pousse doucement vers l’avant. Je me penche tandis que mes cheveux balaient le fond de l’évier. Et puis il sort, hors de mon corps. Cela me fait mal de l’avoir perdu. Jusqu’à ce que je sente la pointe de son gland recouvert d’un capuchon de latex, humide de mes propres sécrétions, caressant d’avant en arrière l’ouverture que ses doigts viennent d’occuper.

 

L'escort boy approcha sa main de son genou

 

Sa voix est rauque, brute. Elle a besoin de moi. Et tout à coup, je me sens puissante. Étrange, compte tenu de notre position actuelle, mais tout de même, j’ai le contrôle. Il peut tout aussi bien me supplier à genoux. Attendant et espérant mes ordres. Je ne pense pas. Je ne pèse pas les options et je n’envisage pas les conséquences. Je ne fais que ressentir, submergée par ces sensations extatiques. Je me laisse aller et j’ai confiance.

 

Très lentement, Jean me rabaisse davantage. Il y a un mouvement de douleur, une brûlure qui s’étend et je prends une profonde inspiration. Il fait une pause jusqu’à ce que je reprenne mon souffle. Puis, doucement, il continue vers l’avant, jusqu’à ce que nos chairs se mêlent intimement. Puis il demeure complètement immobile. Il laisse mon corps s’adapter à l’intrusion.

 

Je sens sa main glisser sur ma hanche et le long de ma cuisse, pour venir s’arrêter vers mon ventre. Sa main se pose sous la mienne, ses doigts adoptent un mouvement circulaire. De cette façon sensuelle et magnifique avant de plonger en moi. Encore et encore.

 

Le gigolo reprend le contrôle. Glissant dans un va-et-vient, tendre mais régulier. C’est divin. Ma main attrape la sienne et l’attire vers mon pistil. Mes jambes tremblent et je sais que je ne suis pas loin. Si proche. Comme gravir une montagne et réaliser que le sommet n’est plus qu’à quelques pas de là. Notre souffle se fait profond, haletant à chaque mouvement des hanches de Jean.

 

Chez les hommes, les orgasmes sont physiques à quatre-vingt-dix pour cent. C’est facile pour eux de se libérer, quelles que soient leurs pensées à ce moment-là. Pour les femmes, c’est plus difficile. Les orgasmes des femmes dépendent généralement de leur état d’esprit.

 

C’est pour cela que ce n’est pas la main de Jean, ni sa barre de fer, qui me font décoller. C’est sa voix. Et tandis qu’il murmure une litanie d’i

Par Jean Man
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Lundi 19 septembre 1 19 /09 /Sep 15:15

Vingt minutes dans un jacuzzi remplie d’eau chaude bouillonnante avaient des vertus magiques. Céline sentait ses courbatures s’effacer, son âme se réchauffer. Rien d’autre n’existait en cet instant que cette sensation de flotter sur un nuage, et elle voulait en savourer chaque seconde. Dieu seul savait quand l’occasion se présenterait de nouveau. Le parquet grinça : hélas, son espace privé était sur le point d’être envahi.

 

Elle sentit la présence de son gentleman derrière elle avant même qu’il ne la touche. Sa voix s’insinua dans sa douce torpeur. Prenant une grande respiration, elle s’enfonça dans l’eau parfumée. Quand elle émergea, elle sentit une serviette sèche effleurer son visage. Jean pensait vraiment à tout.

 

Elle la pressa sur ses yeux et une odeur douceâtre lui parvint, mêlée à celle de la lavande. Elle tendit la main pour qu’il lui passe le shampooing. S’adossant au jacuzzi, elle s’abandonna. Peu lui importait qu’il puisse voir sa nudité à travers l’eau transparente. Pour une fois, elle ne voulait penser à rien, seulement profiter du moment présent.

 

On ne lui avait pas lavé les cheveux depuis qu’elle était petite fille. Elle détestait ça, d’ailleurs. Le contact de ces mains étrangères lui faisait toujours l’effet d’une intrusion. 

 

kiss in the jaccuzzi

 

Mais avec Jean c’était différent. Ses gestes ressemblaient plus à une caresse qu’à un acte mécanique et les mouvements circulaires de ses doigts dénouaient une à une toutes ses tensions. Elle soupira de bien-être quand il lui massa les tempes. Comment un tel homme pouvait-il se montrer aussi doux ?

 

Il lui demanda de pencher la tête en avant et de fermer les yeux. Elle obéit à regret car cela signifiait la fin de ce moment délicieux. Cette pensée la fit tressaillir. Depuis quand associait-elle un homme à la notion de plaisir ?

 

Un torrent d’eau chaude ruissela sur sa tête et ses épaules. Une cascade de volupté après une journée en tout point horrible. Jean lui glissa de nouveau un linge sec dans les mains. Comme elle s’essuyait le visage, il rassembla ses cheveux en arrière pour les essorer.

 

Elle jeta un coup d’œil à ses mâchoires têtues et se figea : il était torse nu. Elle prit une respiration et essaya de se raisonner pendant qu’il soulevait un autre broc. Elle n’avait aucune raison de paniquer. Il avait enlevé sa chemise pour ne pas être mouillé pendant qu’il lui lavait les cheveux, voilà tout. C’était une question de bon sens.

 

Le plancher craqua. Il y eut un cliquetis métallique et une nouvelle cascade parfumée déferla sur elle. Puis elle sentit de nouveau les mains de Jean dans ses cheveux, malaxant les nœuds, s’enfouissant plus profondément pour lui masser le crâne, trouvant tous ces petits points sensibles qui la faisaient fondre de bonheur. 

 

Il glissa ses doigts vers les creux derrière ses oreilles, répandant un frisson exquis dans tout son corps. Cessant de lutter, elle se laissa aller dans l’eau. Ses jambes repliées ne pouvaient pas flotter mais ses genoux se relâchèrent et s’ouvrirent. Ses pieds ne la faisaient plus souffrir. La chaleur les anesthésiait.

 

Elle était prête à faire tout ce qu’il demanderait pour qu’il n’interrompe pas ce moment de pur délice. Elle s’abandonna avec un soupir. Aux petits mouvements dans ses cheveux, elle devina qu’il travaillait à démêler les nœuds. Il procédait lentement sans que ses gestes paisibles trahissent la moindre impatience.

 

Sa voix était un peu rauque. Elle regarda la cuisine entre ses cils mi-clos. La pièce qui lui avait paru étrangère et hostile à son arrivée lui semblait maintenant intime et accueillante. Elle sentit les dents du peigne glisser près de son cuir chevelu. Déjà ?

 

Il continua par un massage, ses gestes devenant peu à peu plus lents, plus amples. Une odeur subtile se mêla à celle de la lavande. Sa présence envahissante la rassurait. Etre massé à un escort boy avait ses avantages, finalement.

 

Il abandonna ses épaules pour lui masser le cou, appuyant doucement sa tête contre son torse pour faire glisser ses doigts de chaque côté de son menton puis de nouveau vers ses épaules. Il ouvrit les mains en éventail pour atteindre le renflement de ses seins avant de remonter vers son cou. C’était si bon qu’elle ne protesta pas quand il prolongea le mouvement un peu plus loin, effleurant l’aréole de ses seins.

 

Elle ouvrit les yeux, choquée de s’entendre gémir. Ses mains effleurèrent la pointe durcie de ses seins. Une sensation aiguë la traversa comme une aiguille. Elle sursauta et esquissa un mouvement de recul.

 

Il l’immobilisa en pressant ses avant-bras sur ses épaules et se pencha pour lui murmurer à l’oreille de lui faire confiance.

 

Sa voix rauque glissa sur ses nerfs tendus avec la même sensualité que ses doigts sur ses mamelons. Une onde de chaleur se répandit dans ses membres, trouvant un étrange écho au creux de son ventre.

 

Il était un gentleman pour femmes exigeantes, un professionnel du plaisir et il possédait de vrais dons de sorcier : elle n’avait plus aucune volonté. Il répéta la même caresse, encore et encore, glissant de ses épaules à sa poitrine, décrivant un cercle autour de la pointe sensible de ses seins avant de remonter vers ses épaules. A chaque passage, la sensation se faisait plus intense et son plaisir se mêlait de frustration. Elle en voulait plus.

 

L’eau clapota quand elle souleva ses hanches, les vaguelettes déclenchant une myriade de sensations entre ses cuisses. Ses genoux s’ouvrirent et d’autres petits frissons liquides se faufilèrent dans ses replis les plus intimes.

 

Comme s’il avait deviné son attente, Jean referma la main sur son sein droit et frotta sa paume sur sa pointe dressée. Son cri étouffé se doubla d’un petit sursaut quand il fit descendre sa main le long de son ventre. Il hésita une seconde, puis prolongea sa caresse sous l’eau, jusqu’à son triangle de boucles dorées.

 

La voix de la Céline se perdit car au même moment il posa son autre main sur son sein gauche et le pressa doucement. Une sensation brûlante, presque douloureuse, enflamma son entrejambe. Avant qu’elle ait pu reprendre son souffle, il saisit son mamelon entre ses doigts tout en effleurant d’un doigt son clitoris. Aucune brutalité dans son approche, contrairement à ce qu’on aurait pu attendre d’un homme comme lui… et de sa réputation.

 

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Sans doute était-ce la fatigue qui l’empêchait de se rebeller mais elle ne se débattit pas, et elle ne résista pas. Elle se transforma en statue, victime impuissante de Jean le magicien de l’amour.

 

Au bout de quelques minutes, le charme qui la pétrifiait commença à se dissiper et elle se souleva pour aller au-devant de ses caresses. Le plaisir monta. Elle n’avait jamais rien ressenti de comparable à cet éclair de volupté qui la fit trembler de la tête aux pieds quand il accentua la pression de ses doigts sur son intimité.

 

Elle se tortilla quand il pinça son mamelon, interrompant le contact sur son jardin secret. D’une pression sur les épaules, il la fit doucement basculer en arrière.

 

Tout son corps aspirait à onduler, à aller au-devant de ses caresses. Elle essaya de ne pas bouger mais comment ne pas réagir alors qu’il pinçait la pointe de son sein puis son clitoris en alternance, la projetant d’une sensation exquise à une autre ?

Elle poussa un petit cri quand il s’interrompit.

 

Elle n’avait jamais ressenti une telle volupté. Elle ne savait même pas que cela existait. Ses doigts enserrèrent son pistil d’amour, de la même façon qu’ils enserraient son mamelon. Leur rugosité était plus perceptible ici, plus excitante encore. Puis il effectua une petite traction sur sa chair brûlante et elle dut se mordre les lèvres pour ne pas crier.

 

Il pressa sa bouche sur la sienne, insinua sa langue entre ses lèvres pour la forcer à les ouvrir. Il voulait l’entendre crier. Il lui butina la joue tout en pinçant son mamelon plus fort. La douleur fugitive la fit geindre. La sensation de chaleur qui suivit lui fit avancer les hanches pour aller au-devant du plaisir en écho qui allait suivre. 

 

Il pinça doucement son jardin secret. Elle gémit, incapable d’analyser ce qu’elle ressentait. Etait-ce de la douleur ? Du plaisir ? Il recommença et ses pensées s’éparpillèrent. Peu lui importait de savoir si c’était bien ou mal. Tout ce qu’elle voulait c’était qu’il continue, encore, plus fort.

 

Il continua à la caresser au même rythme et au bout de quelques instants elle n’y tint plus et souleva les hanches. L’eau clapota. Elle essayait tellement de contrôler cette réaction. Il répondit à son attente en caressant simultanément son mamelon et son clitoris, accueillant ses gémissements par des murmures d’approbation, immobilisant son buste avec ses bras mais laissant ses hanches se cambrer sous ses caresses, riant de la sentir se tortiller sous lui. 

 

Oh, Dieu, elle ne pouvait pas en supporter davantage ! Tournant la tête, elle planta ses dents dans son biceps et éprouva un plaisir presque animal en entendant son cri étouffé.

 

Il lui demanda de se pencher en avant. Elle obéit. Le choc de sentir son grand corps se glisser derrière elle dans le jacuzzi la ramena brutalement sur terre. Il n’était pas torse nu, comme elle le croyait. Il était totalement nu.

 

Sans lui laisser le temps de protester, il la lâcha pour lui enserrer la taille, et l’air froid contracta ses mamelons brûlants. L’eau déborda tandis qu’il passait ses jambes entre les siennes.

 

Elle s’appuya sur ses cuisses pour se soulever pendant qu’elle plaçait ses genoux entre la paroi de la baignoire et ses hanches. Son poignet effleura son clitoris tandis qu’il présentait son sexe bandé.

 

Elle obéit et sentit son sexe se presser sur ses replis brûlants. Elle retint son souffle en prenant conscience de sa taille. Il écarta ses replis avec ses doigts et caressa son clitoris comme s’il cherchait à l’apprivoiser par une caresse familière.

 

Son autre main se referma sur son sein et se remit à la caresser, à la titiller et à la tourmenter jusqu’à ce qu’elle n’en puisse plus de désir. Comme elle se tortillait en gémissant, il la fit basculer doucement en avant pour que son clitoris soit au contact de son sexe dur comme le roc.

 

Elle retint son souffle quand il posa sa main libre sur ses fesses. Son pouce s’insinua dans la fente, osant une caresse là où personne ne l’avait jamais touchée.

 

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Toute son attention était focalisée sur ce pouce. Quand il ponctua son ordre d’une lente pression, elle obéit, allant et venant le long de son sexe. Son pouce épousa le mouvement, appuyant, dessinant des petits cercles, la distrayant du plaisir qu’elle éprouvait à se frotter contre lui.

 

Si elle descendait, elle irait au-devant de son pouce. Elle hésita. Le frémissement fiévreux de son clitoris lui intimait de bouger, de lui procurer cette caresse délicieuse qu’il attendait. Une pression sur son mamelon décida pour elle : elle sursauta, et une étincelle de désir la traversa pendant que la pression de son doigt entre ses reins ajoutait à son plaisir en lui donnant une note plus sombre, interdite. Il n’y avait ni douleur ni intrusion, juste ce contact qui la tentait et l’excitait à la fois.

 

Fermant les yeux, elle continua à se laisser glisser le long de son sexe. Il n’essaya pas de la pénétrer, il la laissa aller et venir contre son sexe bandé, frémissant sous son langoureux va-et-vient. C’était bon, quelque chose qu’elle n’imaginait même pas… Et plus elle ondulait contre lui, plus elle sentait son pouce glisser entre ses reins. Mais ce n’était pas invasif, comme elle l’avait d’abord redouté. Juste une sensation de plaisir accru. Lâchant son sein, il releva ses cheveux pour dégager son épaule. Elle sentit son regard la brûler et son sexe tressauter contre elle pendant qu’il soupirait de plaisir.

 

Il était à deux doigts de jouir, elle sentait son corps vibrer sous le sien. Elle se frotta contre lui, savourant la sensation et la réalité de ce qu’elle s’apprêtait à avouer.

 

Il était si différent de ce qu’elle avait connu jusqu’ici. Après tout, il était son escort boy et il savait comment faire pour la satisfaire. L’extrémité gonflée de son clitoris frotta le bout de son sexe et elle sursauta. Oh Dieu, oui ! Jean la stabilisa, la poussant jusqu’aux limites du plaisir sans jamais l’autoriser à franchir la ligne inconnue qui la terrifiait et l’appelait tout à la fois.

 

Elle secoua la tête, trop effrayée pour franchir ce petit pas qui la libérerait. Elle sentit sa main se faufiler dans son triangle de boucles et son pouce chercher son clitoris gonflé puis le presser contre son sexe brûlant. La tension qui s’était emmagasinée en elle explosa d’un seul coup. Tout son corps se désintégra sous l’intensité de son orgasme. 

 

Le sexe de Jean tressautait contre elle, créant des ondes de plaisir qui l’emportaient toujours plus loin. Elle se mordit la lèvre pour ne pas crier tandis que son clitoris se contractait au même rythme saccadé que les battements de son cœur.

 

Un instant plus tard, tout en lui murmurant des mots doux, il referma ses grandes mains sur ses hanches et la fit doucement basculer vers l’avant, à genoux. Et elle sentit alors son souffle lui caresser les fesses.

 

Elle allait mourir d’embarras, à coup sûr. Elle sursauta quand il pressa son visage sur ses fesses. Doucement, tendrement, il caressa son passage étroit avec sa langue, le léchant tendrement.

 

Céline tâtonna derrière elle et lui donna une tape sur la tête avec ce qui lui restait de forces, stupéfiée par l’incroyable faiblesse de ses muscles.

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Son sexe se contracta en sentant cette caresse interdite. Puis il la souleva plus haut, ses coudes écartant ses cuisses. Même si elle savait ce qui allait venir, rien ne l’avait préparée au plaisir ineffable de sa langue sur sa chair frémissante.

 

Avec un soupir de satisfaction, il la lécha, la titilla. Ignorant ses protestations et ses efforts pour se dégager alors que sa chair trop sensible refusait ces caresses proches de la souffrance. Puis un nouvel orgasme la traversa et elle laissa échapper des petits gémissements pendant qu’il la faisait tourner vers lui.

 

Il referma sa bouche sur son mamelon gonflé et la plaça au-dessus de son sexe tendu de désir avant qu’elle ait pu reprendre ses esprits. Incapable de lutter davantage, elle appuya sa tête contre son épaule et se laissa glisser sur lui. 

 

Elle accentua la pression et il tressauta, ses dents titillant son mamelon, puis une fois encore il la stoppa avec ses mains.

 

Le faire jouir, oui. C’était ce qu’elle voulait. Les spasmes de l’orgasme palpitaient encore en elle comme des vagues. Elle les laissa étreindre son sexe comme des baisers intimes, lui faisant partager le plaisir qu’il lui avait fait découvrir, ondulant jusqu’à ce qu’il renverse la tête en arrière et que ses mains se referment sur ses hanches comme un étau, la scellant à lui tandis qu’il gémissait son prénom, gravant la réalité de la scène dans son esprit.

 

Il était son gentleman et il lui avait donné du plaisir. Il ouvrit les yeux, comme s’il entendait ses pensées. Son étreinte se resserra, ses hanches se soulevèrent. Une angoisse s’insinua dans son plaisir tandis qu’il entrait légèrement en elle, près de jouir.

 

Elle était épuisée, écartelée. Elle avait besoin d’un répit. Mais il ne le lui accorda pas. Son pouce chercha son clitoris et le caressa. Alors, parce qu’elle avait envie de le sentir venir en elle, parce qu’elle avait envie de le sentir en elle, tout simplement, elle se laissa glisser le long de son sexe. Son envie de lui dépassait son instinct de survie.

 

La joie irradia à travers la douleur tandis qu’elle descendait plus bas. Jean prit ses fesses dans ses mains et l’arrêta, refusant ce à quoi ils aspiraient tous les deux. Elle croisa son regard assombri par la passion pendant qu’il frémissait, secoué par un ultime spasme.

Par Jean Man
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